Paris, le 2 Mai 1891 9, rue Monsigny Ma chère Marie, Merci de ta bonne lettre ; écris-moi le plus souvent que tu pourras, je suis toujours heureux de vivre avec vous le plus possible. J'irai lundi au Bon Marché pour les 3 petits ; il y a justement exposition ce jour-là pour les toilettes d'été. Merci aussi de la lettre confiante de la sœur Ste Ophémie. N'allons pas plus loin dans cette voie : Jésuites et Solignac ou Sarré-leur peuvent se donner la main et je leur laisse leurs candidats. Rien du côté de Bourg-la-Reine. C'est donc pour le moment une affaire terminée. ... Au revoir, chère sœur Marie, je t'embrasse ainsi que Camille et tes quatre chéris et Madame Revel. Mes meilleurs sentiments à Magdeleine et aux cousins. Votre dévoué,\ Jules Jacquot