Châteauroux, le 29 Mai 1891 Ma bien chère Marie, Je te plains de tout mon cœur, de te voir entourée de cette maladie et obligée de soigner tout ton petit monde. J'espère bien que la mignonne Lili échappera à la contagion et que ta prochaine lettre m'annoncera la guérison générale de la famille. \[...\] Au revoir, chère Marie, je t'embrasse de tout mon cœur, ainsi que Camille et les enfants. Ton dévoué,\ Jules Jacquot