# Lettre du 15 mai 1886 *(Transcription de la lettre manuscrite datée du 15 mai 1886)* Lorient, le 15 mai 1886 109, rue du Port Ma chère Marie, L’Albatros n’est plus qu’un pauvre ponton ; tout le monde est parti. Je reste tout seul pour rendre mes comptes. Comme je l’écris à Henriette, je pense partir pour Viorot vers le 25 mai. Le Conseil de Santé m’a donné 2 mois de congé de convalescence qui commenceront du jour où je quitterai Lorient. (...) Ton frère dévoué, **Jules**