La Bourboule-les-Bains, le 1er Juin 1891 Grand-Hôtel de Paris Ma chère Marie, Je suis bien aise de voir que tous tes petits malades s'acheminent régulièrement vers une totale guérison. Espérons que le temps va se remettre tout à fait et qu'ils pourront se dédommager d'un internement aussi prolongé, qui ne doit être un aspect ni pour les enfants ni pour les parents. \[...\] Je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que Camille et les petits.\ Mes meilleurs sentiments à toute la famille. Votre dévoué,\ Jules Jacquot