- Created new files for letters dated from February 16, 1893 to January 19, 1895. - Included personal updates, health concerns, and family matters. - Highlighted ongoing issues related to professional reinstatement and administrative challenges.
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Comba, le 23 Mars 1890.
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Chère Marie,
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Au moment où j'ai reçu ta douloureuse lettre du 16 Janvier 1890, j'étais
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moi-même bien près de la porte funèbre. Enfin me voilà tiré d'affaire,
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mais je suis bien faible ! Il va falloir repartir cependant.
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Votre ange, mon cher petit Jean, est sauvé ; mais il faudra le soigner
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longtemps, longtemps. La pauvre Madame Bourbon est allée rejoindre son
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cher mari.
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Je serais heureux d'avoir quelques détails ; j'espère bien que mon petit
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Jean pourra en ramener un gros.
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J'attends la description de l'appartement avec impatience. Inutile de
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vous dire que je n'ai rien reçu pour ma nomination. Je n'y compte plus
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--- à quoi bon !
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Allez quelquefois le Dimanche à Fourvières, vous mettrez pour moi un
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cierge et ça vous fera une promenade.
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Je suis fatigué d'écrire ; je m'arrête. Je vous embrasse tous de tout
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mon cœur. Ecriez des choses aux cousins. Comment vont les affaires de
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Camille ?
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Votre dévoué,\
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Jules Jacquot
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